"Pour la traditionnelle mise au vert, celle-ci a commencée à 19h30 ( je sais PAT pour celle la j’étais à l’heure mais c’était à côté de la maison……..) pour la fête des nounous de Poisat.
Un verre de rosé, crudités, pâtes,fruits et……….un petit verre de notre fameuse verte. Je pense coach que pour la carburation tout y était.
Samedi levé 6h00 une tasse d’OVOMALTINE, désolé pas de CARO, céréales, fruits secs et en avant pour Laffrey et solonges au pied du grand serre.
Dossard en main à l’extérieur quelques Matheysins regardent aux jumelles le tracé qu’on distingue droit devant nous par des fanions rouges, ça fait peur un mûr se dresse devant moi.
Le sac de change et mes ASOLLO de montagne pour la descente (pas les mêmes que JéJé c’est pour la marche celle-ci) dans la remorque du tracteur qui nous emmènera tout ça au sommet,
Me voilà parti pour une petite heure d’échau, 20 min au plat pour la montée en T° puis 2 allez retour en marche rapide jusqu’au pied de la forêt car c’est impossible de courir ou du moins pas longtemps.
9h20 l’heure du départ est proche, petite discussion avec une connaissance des lieux sous l’arche gonflable et TOP nous voilà partis. Pas le temps de se poser beaucoup de questions l’allure est impressionnante il doit y avoir que des habitués de ce genre d’effort. Très vite je me trouve en queue de peloton l’entrée du bois est déjà là ( 200 M de dénivelé ) quelques places gagnées dans la forêt 200 M de plus reste 600 M au nu dans l’herbe plus de peloton une longue file indienne se dessine devant moi et les premiers sont déjà très haut le passage dans le bois a était terrible. Les places sont désormais figées,impossibles de relancer. Et pourtant un second souffle se fait ressentir ,je remonte sur un petit groupe de copains que j’emmène au sommet, ils me remercièrent d’ailleurs à l’arrivée ça fait toujours plaisir. Dans les 100 derniers mètres de déniv on ne voit jamais l’arrivée elle semble se dérober au fur et à mesure qu’on avance .Enfin la délivrance dans un brouillard glacial 68 éme en 1h1min content d’être là, même si le temps du premier me donne le vertige, le tracteur est là aussi avec des affaires chaudes et sèches pas le temps de s’attarder il fait trop froid. En contre bas le soleil ressort je peux tomber la veste, c’est pendant la descente en regardant le profile que l’on s’aperçoit que la pente est très raide. Un dernier regard sur le parcours avant de prendre le volant.
Ce fut donc une expérience sympa une belle matinée un effort que je n’avais pas l’habitude de travailler jusqu'à maintenant mais sympa. Ravitaillement chez Cyril sur la route et en avant pour d’autres bons moments"
Pybé
Un verre de rosé, crudités, pâtes,fruits et……….un petit verre de notre fameuse verte. Je pense coach que pour la carburation tout y était.
Samedi levé 6h00 une tasse d’OVOMALTINE, désolé pas de CARO, céréales, fruits secs et en avant pour Laffrey et solonges au pied du grand serre.
Dossard en main à l’extérieur quelques Matheysins regardent aux jumelles le tracé qu’on distingue droit devant nous par des fanions rouges, ça fait peur un mûr se dresse devant moi.
Le sac de change et mes ASOLLO de montagne pour la descente (pas les mêmes que JéJé c’est pour la marche celle-ci) dans la remorque du tracteur qui nous emmènera tout ça au sommet,
Me voilà parti pour une petite heure d’échau, 20 min au plat pour la montée en T° puis 2 allez retour en marche rapide jusqu’au pied de la forêt car c’est impossible de courir ou du moins pas longtemps.
9h20 l’heure du départ est proche, petite discussion avec une connaissance des lieux sous l’arche gonflable et TOP nous voilà partis. Pas le temps de se poser beaucoup de questions l’allure est impressionnante il doit y avoir que des habitués de ce genre d’effort. Très vite je me trouve en queue de peloton l’entrée du bois est déjà là ( 200 M de dénivelé ) quelques places gagnées dans la forêt 200 M de plus reste 600 M au nu dans l’herbe plus de peloton une longue file indienne se dessine devant moi et les premiers sont déjà très haut le passage dans le bois a était terrible. Les places sont désormais figées,impossibles de relancer. Et pourtant un second souffle se fait ressentir ,je remonte sur un petit groupe de copains que j’emmène au sommet, ils me remercièrent d’ailleurs à l’arrivée ça fait toujours plaisir. Dans les 100 derniers mètres de déniv on ne voit jamais l’arrivée elle semble se dérober au fur et à mesure qu’on avance .Enfin la délivrance dans un brouillard glacial 68 éme en 1h1min content d’être là, même si le temps du premier me donne le vertige, le tracteur est là aussi avec des affaires chaudes et sèches pas le temps de s’attarder il fait trop froid. En contre bas le soleil ressort je peux tomber la veste, c’est pendant la descente en regardant le profile que l’on s’aperçoit que la pente est très raide. Un dernier regard sur le parcours avant de prendre le volant.
Ce fut donc une expérience sympa une belle matinée un effort que je n’avais pas l’habitude de travailler jusqu'à maintenant mais sympa. Ravitaillement chez Cyril sur la route et en avant pour d’autres bons moments"
Pybé
.
