Le profil du trail 5 km (cliquer pour agrandir)
Première partie du triathlon, le trail, essentiellement en forêt 5 km seulement mais pas de répit ça grimpe dur dès les premiers mètres . La trace reste dure mais pas trop de possibilité de doubler, il faut accélérer, sortir du tracé s'enfoncer dans la neige plus molle, la manœuvre coûte beaucoup d'énergie. La bonne technique, à fond les 100 premiers mètres, retrouver son rythme et laisser ceux qui le peuvent vous doubler.... facile à dire.
Au bout d'un kilomètre, premier raidillon, la marche s'impose pour la majorité, et surprise tout le monde se suit sagement très peu de dépassement, il y aura encore 2 autres parties très raides à 1,5 km et 2,5 km.
Un peu avant la moitié, zone de calme en apparence mais le terrain devient mou et difficile d'avancer à un bon rythme.
On fini par une grande descente régulière mais le slalom entre les arbres est très délicat, ...surtout sur la neige.
Le profil du VTT 9km
Le parcours a été raccourci de quelques petits kilomètres,
Pour débuter ça monte et on pousse...., le trail n'est pas fini. 500 bons mètres pour rejoindre une zone plus praticable, ça se passe dans la station, quelques encouragements de spectateurs impressionnés sont bien agréables.
On monte en selle pour les premiers mètres peu rassurants , le pilotage nécessite énormément de concentration, la trace est de quelques dizaines de centimètres, si la roue avant en sort ..... . Toujours difficile de doubler mais l'écrémage à été fait au trail, on roule avec moins de pression des concurrents . En parlant de pression, entre 1.5 et 2 kg, l'adhérence est très acceptable, c'est même surprenant. Après un km, chemin en forêt en descente, toujours délicat, on rajoute la proximité des arbres.
Après 2 km on traverse une route pour rejoindre les pistes de ski de fond, le pilotage devient plus facile, mais ... ça monte. Un chemin un peu moins large mais en sous bois exposé plein sud, très agréable, la neige moins épaisse se fait oublier. Descente dans ce même chemin, un peu délicate la neige très molle donne des trajectoires aléatoires.
On arrive vers le 4ème kilomètre, montée courte mais on pousse, on remonte en selle, piste de ski, en sous bois, bien large bien dure, les gros mollets font parler la poudre. 5ème kilomètre toujours cette piste bien large mais on redescend, le sourire aux lèvres, les plus téméraires ont enfin leur 1/4 heure de gloire. Leurs espérances s'écroulent rapidement, la piste, n'étant plus abritée sous les arbres laisse apparaitre une neige bien plus molle. C'est la gamelle-party. Pas désagréable même drôle si on ne cherche à être dans le top 10. S'en suit 700 mètres de montée, sans remarques particulières.
Au point kilomètres 6.5 le mur.....
Un plat en devers de 50 mètres nous permet d'observer ce qui nous attend...... il faut un très bon niveau en ski pour s'élancer.... Les pieds en avant, 4 mains sur les freins, on tient le vélo comme on peut...
Suite à ce mur, il faut remonter, heureusement un peu de route, même si ça grimpe dur, on a l'impression de se reposer. On traverse le village, quelques encouragements sont les bienvenus , les jambes commencent à tirer. Les premiers commentaires de la sono parviennent aux oreilles, ça sent bon l'écurie.
On reprend un chemin , petite descente un peu de neige molle, une monté un peu raide.
On voit l'arrivée. Les derniers coup de mollets, on y est......
Le profil Ski de fond 7km
Après tous ces efforts ,vient le ski de fond, 7 km facile .... s'il n'y avait pas eu les deux premières épreuves. Le peu de muscles qui n'a pas encore été sollicité va être à la fête.
300 mètres de plat pour faire croire que tout va bien aller, et ... , c'est parti pour de la grimpette, le peu de descentes qu'il y a sert à peine à réajuster une dragonne en attendant la prochaine montée.
Il faut de la technique et de la réserve dans cette dernière partie, seuls les meilleurs arriveront à l'exploiter pleinement.
Vient enfin une descente assez longue pour reprendre un peu de lucidité et se dire que la fin est bientôt là. Les plus forts remettront le dernier coup de jarret jusqu'à un petit plat et LA dernière montée.
On pressent l'arrivée car on tourne autour du point de ralliement qui devient bien visible dans une zone dégagée.
La dernière grande descente, il n'y a plus qu'a laisser filer, plus rien à faire seulement éviter de tomber, ou se mettre en recherche de vitesse , tout dépend de l'état de fraicheur.
un dernier coup de bâton pour enfin passer la ligne d'arrivée, avec le même sourire aux lèvres du dernier au premier concurrent.
Première partie du triathlon, le trail, essentiellement en forêt 5 km seulement mais pas de répit ça grimpe dur dès les premiers mètres . La trace reste dure mais pas trop de possibilité de doubler, il faut accélérer, sortir du tracé s'enfoncer dans la neige plus molle, la manœuvre coûte beaucoup d'énergie. La bonne technique, à fond les 100 premiers mètres, retrouver son rythme et laisser ceux qui le peuvent vous doubler.... facile à dire.Au bout d'un kilomètre, premier raidillon, la marche s'impose pour la majorité, et surprise tout le monde se suit sagement très peu de dépassement, il y aura encore 2 autres parties très raides à 1,5 km et 2,5 km.
Un peu avant la moitié, zone de calme en apparence mais le terrain devient mou et difficile d'avancer à un bon rythme.
On fini par une grande descente régulière mais le slalom entre les arbres est très délicat, ...surtout sur la neige.
Le profil du VTT 9km
Le parcours a été raccourci de quelques petits kilomètres,Pour débuter ça monte et on pousse...., le trail n'est pas fini. 500 bons mètres pour rejoindre une zone plus praticable, ça se passe dans la station, quelques encouragements de spectateurs impressionnés sont bien agréables.
On monte en selle pour les premiers mètres peu rassurants , le pilotage nécessite énormément de concentration, la trace est de quelques dizaines de centimètres, si la roue avant en sort ..... . Toujours difficile de doubler mais l'écrémage à été fait au trail, on roule avec moins de pression des concurrents . En parlant de pression, entre 1.5 et 2 kg, l'adhérence est très acceptable, c'est même surprenant. Après un km, chemin en forêt en descente, toujours délicat, on rajoute la proximité des arbres.
Après 2 km on traverse une route pour rejoindre les pistes de ski de fond, le pilotage devient plus facile, mais ... ça monte. Un chemin un peu moins large mais en sous bois exposé plein sud, très agréable, la neige moins épaisse se fait oublier. Descente dans ce même chemin, un peu délicate la neige très molle donne des trajectoires aléatoires.
On arrive vers le 4ème kilomètre, montée courte mais on pousse, on remonte en selle, piste de ski, en sous bois, bien large bien dure, les gros mollets font parler la poudre. 5ème kilomètre toujours cette piste bien large mais on redescend, le sourire aux lèvres, les plus téméraires ont enfin leur 1/4 heure de gloire. Leurs espérances s'écroulent rapidement, la piste, n'étant plus abritée sous les arbres laisse apparaitre une neige bien plus molle. C'est la gamelle-party. Pas désagréable même drôle si on ne cherche à être dans le top 10. S'en suit 700 mètres de montée, sans remarques particulières.
Au point kilomètres 6.5 le mur.....
Un plat en devers de 50 mètres nous permet d'observer ce qui nous attend...... il faut un très bon niveau en ski pour s'élancer.... Les pieds en avant, 4 mains sur les freins, on tient le vélo comme on peut...
Suite à ce mur, il faut remonter, heureusement un peu de route, même si ça grimpe dur, on a l'impression de se reposer. On traverse le village, quelques encouragements sont les bienvenus , les jambes commencent à tirer. Les premiers commentaires de la sono parviennent aux oreilles, ça sent bon l'écurie.
On reprend un chemin , petite descente un peu de neige molle, une monté un peu raide.
On voit l'arrivée. Les derniers coup de mollets, on y est......
Le profil Ski de fond 7km
Après tous ces efforts ,vient le ski de fond, 7 km facile .... s'il n'y avait pas eu les deux premières épreuves. Le peu de muscles qui n'a pas encore été sollicité va être à la fête.300 mètres de plat pour faire croire que tout va bien aller, et ... , c'est parti pour de la grimpette, le peu de descentes qu'il y a sert à peine à réajuster une dragonne en attendant la prochaine montée.
Il faut de la technique et de la réserve dans cette dernière partie, seuls les meilleurs arriveront à l'exploiter pleinement.
Vient enfin une descente assez longue pour reprendre un peu de lucidité et se dire que la fin est bientôt là. Les plus forts remettront le dernier coup de jarret jusqu'à un petit plat et LA dernière montée.
On pressent l'arrivée car on tourne autour du point de ralliement qui devient bien visible dans une zone dégagée.
La dernière grande descente, il n'y a plus qu'a laisser filer, plus rien à faire seulement éviter de tomber, ou se mettre en recherche de vitesse , tout dépend de l'état de fraicheur.
un dernier coup de bâton pour enfin passer la ligne d'arrivée, avec le même sourire aux lèvres du dernier au premier concurrent.
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