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Un grand parking pour accueillir les participants et leur accompagnateurs, une grande tente pour l'organisation, pas besoin de plus, et c'est environs 220 coureurs qui se présentent ce 7 juin 2009 au chalet de l'aigle (un collègue...) de lans en vercors
Quelques gouttes pendant l'échauffement mais rien de méchant la course se fera sur le sec , heureusement....
Départ neutralisé jusqu'au centre de Lans en Vercos pour animé un peu le village d'où le vrai départ sera donné.
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9 h 32 c'est parti, 1 km de route quasi plate. Très bien pour que les groupes se positionnent, et que les jambes montent en température. Malheureusement pour ceux qui n'ont pas été prévenu, la suite est plus "chaude", on attaque immédiatement dans un chemin bien raide, 1.5 km qui paraissent interminable . Quelques mini replats arrivent pour redonner espoir aux mollets,
vient ensuite un grands champs qui monte aussi très raide malgré l'impression vu du bas. Il dure un bon km. Heureusement des spectateurs encouragent les coureurs déjà bien chauds malgré le peu de distance parcouru, à peine 6 km sur les 22 .
Les athlètes passent dans les bois, sur un chemin beaucoup moins large, mais moins raide, les dépassements seront plus délicat, le rythme est plus rapide malgré les racines et des passages caillouteux.
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C'est là qu'arrive le pierrier, quelques lacets à flan de montagne, difficile de faire le malin, ça tire dans les cuisses.
Viennent ensuite les derniers hectomètres avant le sommet et le premier ravitaillement, on marche (ou trottine) de rocher en plaque d'herbe, il n'y a plus d'arbre , et le vent souffle assez fort. Cette partie dure assez longtemps même si au compteur il n'y a que 2 kms. Malgré tout quelques spectateurs ont bravé la difficulté pour venir voir les coureurs, chapeau à eux aussi.
Enfin le ravitaillement des 8 kms, réconfortant, surtout parce qu'il annonce la descente et aussi par le petit sucre agrémenté de liqueur Chartreuse .... offert par les courageux bénévoles de ce premier ravitaillement.
Enfin le sommet, on profite (rapidement) du paysage époustouflant, et c'est parti pour une descente hyper rapide , au mois sur quelques centaines de mètres, très technique, la terre qui glisse sous les pieds, des petits lacets qui s'enchainent rapidement, on ce demande comment il n'y a pas plus de chutes, et on bénis les dieux que le terrain soit sec....
Un peu de calme on retrouve de la descente plus convenable mais piégeuse quand même par le nature caillouteuse du terrain .
La descente continue entrecoupée par quelques montées, le parcours devient un peu plus "reposant" et moins technique, cela dur 4 km environ .
Arrive le 2ème ravitaillement au KM 13, puis une montée pas très raide mais de un bon km quand même, dans un chemin en herbe. On se retrouve rapidement isolé dans cette partie du parcours, les écarts sont déjà conséquents, difficile de remonter sur des adversaires.
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Suite à cette montée viennent 4 km de descente, que l'on peu couper en deux, première partie sur un chemin bien large et relativement peu pentu et, dans un deuxième temps, un chemin a travers bois, caillouteux, boueux, et pentu.... là il y a beaucoup de temps à perdre ou à gagner, c'est le courage (avec les cuisses...) qui fait la différence.
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Enfin KM 18 , dernièr ravitaillement, une tranche de saucisson en passant , ça sent l'apéro....
Plus que 2 km de montée mais avec, sur la fin, un mur quasi infranchissable , c'est très dur, après toute cette descente à tombeau ouvert, les jambes ont du mal à suivre, la fin va être longue.
Enfin, dernière descente, sur un piste de ski, pas la plus facile, un champ très pentu, mais la vue de l'arrivée redonne du courage, on rejoint du plat, la route, quelques maisons pour enfin rejoindre l'arrivée, .... bien fatigué.....
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